Lors de leur victoire à domicile (2-1), le 16 février 2011, face à Barcelone, les Gunners avaient opté pour une stratégie bien différente que celle, défensive, qui avait permis à Chelsea (en 2012, 1-0, 2-2) et à l’Inter Milan (en 2010, 3-1, 0-1) de l’emporter en demi-finales.
« Paris peut leur faire mal »
« Il faut jouer haut, les presser, les obliger à jouer long dès leurs six mètres, s’enthousiasme Bacary Sagna dans les colonnes de L’Equipe. Ils n’aiment pas être sous pression. C’est difficile mais, contre eux, il faut prendre des risques, jouer les coups à fond, les faire douter. Si Paris s’adapte au jeu du Barça, il va souffrir, comme nous lors de la première période en 2011. Cette année-là, c’est lorsque nous nous sommes lâchés et que nous avons joue notre jeu que nous les avons battus. Dans l’impact physique, Paris peut leur faire mal. A partir de la 65e-70e, le Barça a un creux physique. C’est là qu’il faut en profiter. »