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JO Paris 2024 : La grosse «provocation» de l’Argentine qui met le feu à la France

JO Paris 2024 : La grosse «provocation» de l’Argentine qui met le feu à la France
Dan Marciano -
Rédacteur
Titulaire d'un Master de droit international, je me suis rendu compte au bout de mon parcours universitaire qu'il était important d'évoluer dans un domaine que l'on apprécie. Du jour au lendemain, j'ai décidé de mettre fin au rêve de mes parents, qui voyaient en moi un futur avocat, pour vivre de ma passion : le sport. Depuis, je couvre les mercatos et l'actualité sportive en essayant d'informer au mieux les lecteurs.

La France a pris sa revanche sur l'Argentine. Près de deux ans après sa défaite face à la bande de Lionel Messi en finale du Mondial, l'équipe de Thierry Henry est parvenu à remporté son quart de finale du tournoi olympique. Mais cette rencontre s'est terminée en bagarre générale. Président de la FFF, Philippe Diallo a évoqué cet affrontement sous haute tension.

L’équipe de France olympique de football peut encore croire à ses rêves de victoire à domicile. Ce vendredi soir, au bout du suspense, les hommes de Thierry Henry sont venus à bout de l’Argentine et ont vengé, par la même occasion, la bande à Kylian Mbappé (1-0). Un duel sous haute tension, qui s’est terminé en bagarre générale. Joueur français de Stuttgart, Enzo Millot a écopé d’un carton rouge dans cette affaire.

Thierry Henry enrage après cet affrontement

« On vient de me dire qu'Enzo Millot a pris rouge, on verra si c'est mérité. Je n'aime pas ce genre de choses. Ce n'était pas nécessaire. Non ça ne gâche pas la qualification mais c'est inutile. » a pesté Thierry Henry après le coup de sifflet final. De son côté, Philippe Diallo, présent à Bordeaux pour assister à cette rencontre, déplore des «provocations» de la part des Argentins.

«C'est aussi l'apprentissage du très haut niveau»

« Depuis le départ, je dis que dans le foot, on doit savoir garder son sang-froid. On a eu un petit moment d'oubli à la fin qui a conduit à ces échauffourées qu'on n'aurait pas dû voir. Moi, je retiens quand même la qualification. C'est aussi l'apprentissage du très haut niveau. Ces joueurs ont aussi vocation de taper à la porte des A, et c'est aussi dans ces matchs-là qu'ils acquièrent une expérience des grands tournois. J'espère que ça ne se reproduira pas pour eux. Un recours ? J'attends de voir comment la Fifa prendra ses décisions. Pour l'instant, on est dans le temps de la victoire » a confié le président de la FFF au micro de Radio France.

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