Luis Suarez était confiant, mais il avoue que lorsque les médecins lui ont annoncé qu'il devait subir une opération pour sa blessure au ménisque, il a eu du mal à retenir ses larmes. Je me suis senti bien. A aucun moment, je me suis senti sous pression. A aucun moment, je ne me suis senti triste parce qu’à aucun moment je n’ai pensé qu’il y avait une chance que je manque la Coupe du monde. L’idée ne m’a pas traversé l’esprit. La douleur aurait pu me faire pleurer, mais ça n’a pas été le cas parce que je savais. Lorsque le médecin m’a parlé, trois petites larmes ont coulé, pas plus. Les blessures ne sont pas seulement une question de physique, c’est aussi une question d’état d’esprit. Si on pense : « Je ne vais pas le faire, ça fait mal, je ne vais pas aller mieux », alors ça n’ira pas mieux. Mon objectif était clair : je voulais que mes enfants puissent me voir jouer la Coupe du monde. » a-t-il déclaré selon RMC. Une chose est sûre, une Coupe du Monde sans Suarez n'aurait pas eu la même saveur.
Coupe du Monde Brésil 2014 - Suarez : « Trois petites larmes ont coulé… »