L’entraîneur catalan n’a pas encore prolongé avec le Barça et logiquement les propositions ne manquent pas. Abramovitch en ferait son favori pour porter le nouveau projet de Chelsea.
Cette année devait-être une année de transition pour les Blues mais avec à la tête du club le milliardaire russe, c’est tout de même synonyme de résultat. Villas-Boas devait changer cette équipe en fond et faire jouer les Londoniens comme il le faisait à Porto. Le Special Two a échoué et en a assumé les conséquences. Abramovitch a tenu à préciser à ses joueurs que personne n’avait sa place assurée. Désormais, le proche de Poutine s’active pour trouver un homme capable d’incarner les nouvelles intentions du club. Il aurait déjà fait son choix.
Guardiola : son premier choix Le premier choix de l’ancien trader se porterait sur … Pep Guardiola. Quand on a de l’argent, on se dirige vers ce qu’il se fait de mieux et aujourd’hui c’est à Barcelone que ça se passe. Depuis les années Mourinho, Chelsea a une image d’équipe dure et physique. Avec les dernières arrivées, on voit clairement un changement de politique (Juan Mata notamment). Selon O Jogo, Abramovitch privilégierait la piste Guardiola pour le jeu mais aussi pour le caractère car malgré la bonne entente qu’il conserve avec Mourinho, le Russe préfère la diplomatie du Catalan. José Mourinho serait préféré par le vestiaire, logique mais aussi un problème de plus pour le propriétaire qui souhaite le réformer. Le Portugais reste tout de même la deuxième possibilité.
Les autres Roman Abramovitch est le genre de personne qui anticipe. Malgré ses pistes préférentielles, Joachim Löw, avec qui il aurait déjeuné hier à Genève ou encore Jurgen Klopp qui a largement montré de quoi il était capable avec Dortmund et qui aujourd’hui a le choix entre le Bayern Munich et la Mannschaft. Marcelo Bielsa, coach de l’Athletic Bilbao, est aussi dans la liste du Russe. L’Argentin aime le beau jeu et est le modèle d’un certain Guardiola. Il ne faut pas oublier Didier Deschamps qui garde une réputation de gagneur en Europe. On parle de lui à l’Inter ou encore à Valence. Mais Chelsea a l’avantage du porte-monnaie.