A juste titre, Messi, Iniesta ou encore Xavi monopolisent les regards, quand le Barça se produit. Tous jouent pourtant un rôle important dans la mécanique parfaitement huilée du Barça. Comme Daniel Alves, piston infatigable et intelligent du flanc droit catalan.
Sur son côté, le latéral très offensif rend fou ses adversaires. Intraitable défensivement, le Brésilien ne rechigne jamais à apporter un plus offensivement. Toujours réfléchi, Daniel Alves aime combiner avec Lionel Messi et les deux têtes pensantes de l’équipe, Xavi et Iniesta.
Mais Alves aime surtout le Barça. Et déteste ceux qui l’attaquent. Mourinho, qui voulait diminuer la portée de la victoire des Catalans en finale du championnat du monde des clubs en sait quelque chose : « Pour jouer ces deux petits matchs, il faut déjà gagner la Ligue des champions. Nous l’avons fait et nous avons même gagné ces fameux deux petits matchs. Envier les autres est vraiment un vilain défaut ».
Deuxième round aujourd’hui, en une du site internet d’AS, média pro-madrilène. De quoi faire monter la sauce : « Les éloges qui nous sont adressées font mal au Real Madrid».
Vivement 2012.