Après une saison 2012/2013 compliquée, Samir Nasri est sur une autre dynamique sous la direction de Manuel Pellegrini.
Pointé du doigt la saison dernière pour des prestations insipides, Samir Nasri était peu sollicitée par l’entraîneur en place à savoir Roberto Mancini. Mais depuis l’arrivée du Chilien Manuel Pellegrini, l’international français revit et se montre décisif comme le prouve son implication dans les nombreux buts des Citizens.
« J’AI REFUSÉ DE PARLER À TOUT LE MONDE »
« Tout ce que Mancini me disait était difficile à accepter pour moi. Ce n’était pas de sa faute, ça venait de moi. Je ne me sentais pas bien, la saison a été dure. Après mes problèmes avec la presse, j’ai refusé de parler à tout le monde, j’ai eu mauvaise presse en France. Dans ma tête, je n’étais plus le même. Je ne jouais pas bien, j’ai perdu ma place, et c’est seulement en fin de saison que je me suis rendu compte que je n’étais plus le même. Parfois, quand on commet des erreurs, on refuse de l’avouer. Et ça a été ma plus grande faute. En tant que joueur, en tant que personne, j'ai beaucoup grandi. »
NASRI ET LE MATCH EN UKRAINE
Si tout va bien à City, Samir Nasri n’avait pas été épargné suite à sa prestation en Ukraine sous le maillot de l'équipe de France : « Une fois de plus, un garçon comme Samir Nasri va catalyser les reproches et symboliser ce manque de coeur et d'enthousiasme. Sur la forme du moment, Deschamps a décidé de sortir un Valbuena qui tire un peu la langue en ce moment mais qui a toujours donné satisfaction en sélection pour redonner sa chance à Nasri, auteur de quelques bons matchs avec City » avait notamment indiqué Pierre Ménès.