Alors que Fernando Alonso découvrira, comme tous les pilotes, le circuit de Bakou, l'Espagnol s’est montré particulièrement enthousiaste.
Dimanche prochain, le paddock de Formule 1 va découvrir un nouveau Grand Prix et donc un nouveau circuit. Pour la première fois de l’histoire, la F1 a en effet rendez-vous à Bakou, capitale de l’Azerbaïdjan où un circuit urbain de 6,001km a été tracé par l’architecte allemand Hermann Tilke dans les rues de la ville. Tilke est d’ailleurs un habitué puisque c’est lui qui est à l’origine des circuits de Sepang (Malaisie), Sakhir (Bahreïn), Singapour ou encore Abou Dhabi et Austin (États-Unis), des circuits qui ne font pas toujours l’unanimité, mais Fernando Alonso fait preuve d’un grand enthousiasme pour le tracé de Bakou.
« Je ne sais pas vraiment quoi dire de plus à son sujet »
« J’ai vraiment hâte de rouler à Bakou. Grâce à mon rôle d’ambassadeur, j’ai déjà vu les plans en détail et j’ai assisté à la naissance du circuit lors des derniers mois. Le tracé est un mélange impressionnant de l’intensité d’un circuit en ville, avec ses rues étroites, et d’un circuit plus traditionnel sur lequel on rencontre des occasions de dépasser et des vitesses élevées. C’est un bon équilibre entre ces deux mondes, il est bien plus rapide que les autres circuits en ville. Je suis enthousiaste à l’idée de ce défi et j’ai hâte de voir ce qu’il nous donnera la possibilité d’accomplir, tout ça nous est inconnu. J’ai déjà roulé sur la piste dans le simulateur et beaucoup de choses la rendent unique, à commencer par ces murs médiévaux à l’aplomb de l’asphalte fraîchement posé, des virages à sens anti-horaire et des dégagements quasi inexistants. Ce sont les ingrédients pour une course intense », confie le triple champion du monde dans des propos rapportés par Nextgen Auto.