Le FC Barcelone a l'air plus que jamais déterminé à rapatrier le soldat Cesc, retenu prisonnier par Arsène Wenger dans les geôles d'Arsenal, mais le président n'est pas prêt à tout pour autant.Sandro Rosell, le président du FC Barcelone dressait jeudi le bilan de sa première saison à la tête du club. A l’issue de la conférence de presse, les journalistes n’ont pas manqué de lui poser des questions sur les transferts en cours ou à venir, et notamment le cas Cesc Fabregas.
Le Barça ne fera pas de folies Et Sandro Rosell a de suite donné le ton : «Quelle est la limite pour le recruter ? Il faut voir. D’abord il faut savoir quel salaire il demande et quelles sont ses conditions (3, 4 ou 5 saisons), (…) mais si nous avons offert 40 millions l’année dernière, il est évident que cette année sa valeur est inférieure», a-t-il affirmé.
Il faut que Wenger redevienne raisonnable «Je ne sais pas ce qu’il se passera avec Cesc, mais en supposant qu’il nous intéresse, nous ne casserons pas la tirelire pour le recruter. Nous n’allons pas faire de folies non plus», a-t-il prévenu. Il a également détaillé la méthode de recrutement du FC Barcelone : «Pep dit à quels postes il a besoin de se renforcer, il le transmet à Zubizarreta (le directeur sportif, ndlr), nous étudions l’aspect technique et après on décide de l’ordre des priorités. Pour chaque poste nous avons trois ou quatre noms», a-t-il précisé, laissant à penser que le Gunner n’est pas la priorité numéro un du Barça.