En 2013, le PSG a déboursé 40 millions d’euros pour s’offrir Lucas. Un montant qui a paru astronomique et sur lequel est revenu le Brésilien.
Dans sa stratégie de devenir un des meilleurs clubs du monde, le PSG s’offre les plus grandes stars, mais également mise sur les talents de demain. C’est ce que le club de la capitale a fait avec MarcoVerratti ou encore Lucas. Concernant le Brésilien, les champions de France sont allés le chercher à SaoPaulo en échange d’un chèque de 40 millions d’euros. Une somme importante pour un jeune joueur qui n’avait également rien démontré en Europe.
« Des petites choses m’inquiétaient plus »
Alors que le prix d’un transfert peut peser sur les épaules d’un joueur, ce n’est pas le cas de Lucas. « Comment j’ai géré mon transfert ? En fait, le montant de mon transfert n’a jamais eu trop d’importance pour moi. Regardez ce qu’il se passe aujourd’hui : les grands clubs parient sur des jeunes joueurs pour encore beaucoup plus d’argent. Pour moi, le plus difficile a été l’adaptation à Paris. J’ai découvert un nouveau pays, une nouvelle ville, un nouveau climat, une nouvelle langue… Je me faisais du souci pour savoir comment j’allais faire pour parler avec les gens. Des petites choses comme ça m’inquiétaient plus que le montant de mon transfert », a expliqué le joueur du PSG à France Football.
« Je souhaite rester longtemps ici »
Il y a quelques jours, Lucas était également revenu sur son adaptation, expliquant qu’il souhaitait rester encore de longues années au PSG : « J’adore être à Paris. Je veux marquer l’histoire. Je sens que je peux gagner la Ligue des Champions avec le PSG. Mais ce n’est pas seulement le club, c’est aussi la vie à Paris qui est fantastique. C’est pourquoi je souhaite rester longtemps ici. Au début, ma famille et mes amis me manquaient. Les Brésiliens sont très proches de leur famille, y compris dans les moments difficiles. On est toujours contents d’être ensemble. En France, les gens sont plus froids. Maintenant, tout va mieux car je vis avec ma mère, mon beau-père, ma petite amie. Je ne peux me plaindre de rien. Je vis dans la plus belle ville du monde. De plus, je fais quelque chose que j’adore : jouer au football ».