Non, Laurent Blanc n’est pas sur la sellette. Mais Le Parisien consacre une partie de son journal sur l’avenir de l’entraîneur parisien.
« Mes valises sont prêtes dans le garage ». Fin juillet, Laurent Blanc ironisait sur l’avenir des entraîneurs dans les grands clubs européens. En réalité, l’ancien coach des Girondins de Bordeaux va devoir réaliser une saison quasi-parfaite pour ne pas voir son aventure parisienne prendre fin l’été prochain. Le Parisien rappelle les objectifs fixés par sa direction : remporter la Ligue 1, une Coupe nationale et faire mieux qu’un quart de finale en Ligue des Champions. Vous avez dit compliqué ?
UN NOUVEAU CONTRAT MAIS…
Si son remplacement en cours de saison paraît « inimaginable » selon Le Parisien, rien n’est garanti pour l’été prochain, malgré la signature d’un nouveau contrat il y a quelques mois le liant avec le club de la Capitale jusqu’en juin 2016. Ce mardi, le quotidien revient sur quelques détails du contrat de l’entraîneur parisien.
BLANC ET LES PRIMES D’OBJECTIF
Alors que Carlo Ancelotti touchait 650 000 euros brut mensuels, Laurent Blanc en touche 50 000 de moins. Concernant les primes d’objectif, elles sont décrites comme « faibles par rapport au montant du salaire » par un connaisseur. Selon Le Parisien, l’entraîneur parisien touchera « seulement » une centaine de milliers d’euros pour un succès dans chacune des compétitions.