Mercato : Il signe à l'ASSE, sa galère continue
Arnaud De Kanel

À l'issue de son contrat avec l'AS Saint-Étienne, Aïmen Moueffek a choisi de prolonger son engagement avec les Verts. À 23 ans, le milieu de terrain marocain s'apprête à faire ses premiers pas en Ligue 1, un tournant majeur dans sa carrière. Mais il devra un peu patienter puisqu'une blessure lui fera manquer les premiers matchs de la saison.

L'AS Saint-Étienne entame une nouvelle ère sous la direction du groupe Kilmer Sports Ventures, une prise de contrôle qui semble raviver les ambitions au sein de l'effectif. Parmi les joueurs qui ont décidé de prolonger l'aventure figure Aïmen Moueffek. En fin de contrat à l'issue de la dernière saison, le jeune milieu de terrain a choisi de rester fidèle à son club formateur, prolongeant son contrat de quatre années supplémentaires. Une décision symbolique qui témoigne de la volonté de certains joueurs de s'inscrire dans le projet à long terme, porté par les nouveaux propriétaires.

Les grandes ambitions de Moueffek avec l'ASSE

« J’ai d’énormes objectifs cette année, j’ai besoin de les atteindre. Autant sur le plan collectif que personnel. Ce sera une année importante pour moi. En ayant plus de temps de jeu plus haut sur le terrain avec le coach Dall’Oglio, j’ai eu pas mal d’occasions et de situations pour réussir à marquer. Il faudra que je sois encore plus efficace cette année. Il ne faut jamais sous-estimer Saint-Étienne. Ce club peut créer pas mal de surprises », confiait notamment le Marocain après avoir signé son nouveau bail. Or, le joueur de l'ASSE ratera le début de saison suite à sa blessure contractée mi-juillet.

Moueffek va manquer le début de la saison

Coup dur pour Aimen Moueffek. Selon les informations de L'Equipe, le Marocain manquera les trois premiers matchs de la saison. Son retour est espéré après la trêve internationale. « Ce n'est pas une déchirure, c'est une contracture gênante en haut du quadriceps qui provoque une gêne lorsqu'il frappe. Ce n'est pas méchant, mais il faut attendre, parce que c'est mal placé », a expliqué Olivier Dall'Oglio.

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