Mercato - Barcelone/PSG/AS Monaco : Daniel Alves sort du silence !
La rédaction

Alors que Daniel Alves s’est récemment trompé sur la date de la fin de son contrat avec le FC Barcelone, le latéral brésilien a enfin brisé le silence sur les ondes de la radio espagnole Punto Pelota.

« J’ai décidé de rester. J’ai un contrat avec le Barça jusqu’en 2016 mais je prends les années les unes après les autres. Cette saison est vitale. » Voici les derniers mots de Daniel Alves, qui scellait son avenir avec le FC Barcelone jusqu’en juin 2016. Mais visiblement, le latéral brésilien n’avait pas vu juste, puisque le directeur sportif du club, Andoni Zubizarreta, a tenu à remettre les choses au clair : Daniel Alves est lié aux Catalans jusqu’en juin 2015.

DANIEL ALVES MIS EN ERREUR

« Nous sommes heureux que Dani Alves soit là. Il y a eu un débat entre les deux parties concernant l'interprétation du contrat et mais on a convenu que son contrat se termine en 2015. Il n’y a aucune clause », déclarait le dirigeant du FCBarcelone. L’international brésilien aurait notamment cru qu’il disposait d’une clause lui permettant de prolonger son bail d’une saison, s’il disputait 60% des matchs de la saison. Une option qui aurait bel et bien été évoquée, mais qui n’aurait toutefois pas été validée lors de la prolongation de son contrat en 2011. Interrogé au micro de la radio espagnol Punto Pelota, Daniel Alves est revenu sur son erreur.

« JE SUIS UN CAS DÉSESPÉRÉ… »

« Je suis un cas désespéré… Je ne sais pas si les journalistes cherchent des problèmes avec leurs questions… Je préférerais avoir des problèmes pour quelque chose que j’ai dit, plutôt que quelque chose que j’aurais inventé. J’ai dis ma vérité, et si ce n’est pas celle des autres, j’en suis désolé », a confié l’international auriverde, qui s’est ensuite confié sur le travail de l’équipe sous les ordres de son nouvel entraîneur, Luis Enrique. « Avec Luis Enrique, le FC Barcelone a l’air au top. Il a les idées claires et a l’intention de reprendre tout ce que nous avons travaillé ces dernières années, quand tout allait bien pour nous. Il nous fait beaucoup courir. Aujourd’hui, pour gagner, il faut courir. Il a raison. Les gens pensent que c’est facile de gagner tout les matchs, mais cela ne se passe pas comme ca », a ainsi conclu Daniel Alves.

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