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Messi contre Ronaldo, «les joueurs s’en tapaient»

Messi contre Ronaldo, «les joueurs s’en tapaient d’une manière intersidérable»
Thibault Morlain -
Journaliste
Après s’être essayé à différents sports, Thibault se tourne vers une carrière de footballeur amateur. Au moment de faire un choix entre devenir footballeur professionnel et journaliste, les qualités ont fait pencher la balance d’un côté. Le voilà désormais au sein de la rédaction du 10 Sport, après un diplôme obtenu à l’Institut International de Communication de Paris.

Ce jeudi, le PSG était en Arabie Saoudite pour disputer un match amical contre une sélection des meilleurs joueurs du championnat local. Une rencontre suivie à travers le monde étant donné que cela a donné lieu, peut-être pour la dernière fois, au duel entre Lionel Messi et Cristiano Ronaldo. Alors que cela a suscité de nombreuses réactions, Grégory Schneider était passablement remonté… 

Ce match entre le PSG et les meilleurs joueurs du championnat saoudien a fait le tour du monde entier. En effet, c’était l’occasion de revoir Lionel Messi face à Cristiano Ronaldo. Une rencontre remportée par le club de la capitale (5-4), qui a au passage empoché un chèque de 15M€. Mais voilà que cette rencontre n’était pas du goût de Grégory Schneider. 

« Tout ça est obscène »

En effet, au micro d’Europe 1, il a dénoncé la tenue de cette rencontre avec le PSG au beau milieu de la saison. « Les 15M€, c’est obscène, inadmissible comme argument. Ça veut dire que demain Montpellier peut bouger pour 700 000€, si on rapporte au budget. Tout ça est obscène, c’est la puissance financière qui s’impose au calendrier des compétitions », a lâché Schneider. 

« Un cirque »

Grégory Schneider a toutefois vu un point positif : le comportement des joueurs, visiblement pas vraiment concernés par l’événement. « Il y a quelque chose qui m’a plus, c’est que les joueurs s’en tapaient d’une manière intersidérable. Ils ont neutralisé le truc. En regardant sous une perception un peu marxisante de l’événement, ils se sont élevés contre… Ils ont pris ça pour ce que c’était, c’est-à-dire un cirque », a poursuivi le journaliste. 

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