Battu avec Valenciennes sur un penalty très litigieux, Daniel Sanchez estime que les équipes médiatiques, dont fait partie le PSG, bénéficient d'un arbitrage « à domicile ».
Peu après l’heure de jeu au Parc des Princes, un centre anodin est contré par David Ducourtioux. Un coup de sifflet retentit. Corner, pense-t-on. Erreur, M. Thual siffle un pénalty extrêmement généreux pour le PSG. Imaginaire affirment les Nordistes. Daniel Sanchez, l’entraîneur de Valenciennes, va même plus loin dans sa critique : « C’est l’éternel problème entre les équipes très médiatiques et celles moins en vue. Je pourrais ce soir parler d’un arbitrage à domicile. » Mauvais perdant ou réaliste ?