Comme à chaque journée, le10sport.com recueille les plus mauvaises notes attribuées par le quotidien sportif pour désigner ceux qui n'auraient pas dû jouer ce week-end lors de la 3ème journée.
Le onze bidon de la 3ème journée de Ligue 1: Costil (Rennes, 3) - Dudka (Auxerre, 3), Mangane (Rennes, 3), Kana-Biyik (Rennes, 3), Tiéné (Paris SG, 3) - M'Vila (Rennes, 3) - Govou (Evian TG, 3), Feret (Rennes, 2), Haddad (Auxerre, 3) - Ilan (Ajaccio, 3), Montano (Rennes, 3)
L’entraîneur bidon de la semaine : Didier Deschamps
Didier Deschamps a fustigé le manque d’impact offensif de son équipe incapable de contourner le bloc stéphanois. Mais quand on sort du onze de départ Benoît Cheyrou pour Charles Kaboré, il ne faut pas s’étonner d’une animation offensive moindre. DD est aussi dans le faux quand il fait jouer André Ayew ailier gauche, un poste qu’il n’apprécie pas et où il a peu d’impact.
Mention aussi à Christophe Galtier, car une tactique aussi défensive, du Jean Fernandez mais en pire, c’est presque honteux. L’entraîneur des Verts réclame un buteur. Après ce match, ils vont se précipiter dans le Forez pour jouer avec l’emballant Galtier.
Les arbitres bidons de la 3e journée : Palme collective
Si les deux premières journées avaient été relativement épargnées par les erreurs, les arbitres se sont bien rattrapés ce week-end. A Nice, M. Duhamel s’est noyé en fin de match. Son assistant lui a d’abord fait refuser le second but valable de Mounier pour un hors-jeu de position alors que le gardien toulousain n’était pas gêné. Compensation ou pas, il sifflera dans les arrêts de jeu, alors que le TFC avait égalisé, un penalty imaginaire, Pejcinovic l’abusant sur le tacle de Siriex.
A Caen, M. Moreira a trouvé que deux pieds dans le visage de Balmont, ce n’était pas encore suffisant pour siffler penalty. Voilà pour samedi. Dimanche, les arbitres ont aussi régalé. Au Parc, M. Thual a offert la victoire au PSG en sifflant un penalty pour une main de Ducourtioux. Si cette règle est véritablement appliquée, on va avoir droit à trois ou quatre penaltys par match…
A Marseille, M. Kalt et ses assistants n’ont pas vu l’énorme main, ou plutôt coup de poing, de Mignot. Ils étaient tout aussi aveugles quand Nkoulou a écrasé la cuisse de Sinama-Pongolle… à deux mètres de l’assistant.