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Avant de (re)devenir l’impitoyable machine à gagner, le PSG a traversé son habituelle crise de novembre. Une période larvée de tensions au sein de club, et notamment dans le vestiaire. Les rivalités, de plus en plus exacerbées, entre le « clan » des anciens et celui des « Italiens », a sérieusement perturbé la vie du groupe. Un effectif également soumis à l’impérialité de sa star, Zlatan Ibrahimovic…
Quand Zlatan veut jouer, Zlatan joue Cette semaine, Le 10 Sport vous livre une croustillante anecdote, révélatrice de l’importance de Zlatan Ibrahimovic et des conséquences sur le vestiaire parisien. Selon nos informations, avant la rencontre entre Saint-Étienne et le PSG, en quart de finale de Coupe de la Ligue (0-0, 5-3 t.a.b.), Zlatan Ibrahimovic a fait savoir à Carlo Ancelotti qu'il souhaitait jouer. A l'origine, le Suédois devait rester sur le banc, pour souffler un peu, et laisser place à Guillaume Hoarau sur le front de l'attaque. Motif de cette demande de la part de Zlatan ? Après la première confrontation contre l'ASSE, en championnat (3 novembre, victoire 2-1 des Verts, au Parc des Princes), Zlatan Ibrahimovic n'avait pas apprécié de se faire quelque peu chambrer après avoir souffert dans le duel qui l'opposait à Bayal Sall. Sa requête a été prise en compte par Carlo Ancelotti. Zlatan Ibrahimovic a bien été titularisé ce soir-là, Guillaume Hoarau restant alors sur le banc. Mais l'effet Ibra n'a pas eu lieu, le PSG se faisant éliminer de la compétition aux tirs aux buts...
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