Samuel Eto'o, qui vient de marquer un nouveau but sous les couleurs d'Anzhi, a évoqué ses premières impressions sur sa vie en Russie. Pas de quoi attirer tous les footballeurs à l'Est de l'Europe...
Dans un entretien accordé à La Gazzetta dello Sport, Samuel Eto’o s’exprime sur sa nouvelle vie en Russie, Anzhi est son nouvel eldorado. L'attaquant camerounais s'est adapté à la vie russe. Eto'o s'est rapidement adapté à son nouveau club avec déjà trois buts en cinq matchs (voir le derneir ci-dessous), le football à l'Inter Milan ou à l'Anzhi, le résultat est le même, « C’est un football différent, mais pas tant que ça. Je prends beaucoup de coups, d’autant plus que je joue souvent dos au but, mais pour moi, c’est la même histoire partout. On m’a mis des coups partout où j’ai joué ».
Pas si parfaite la vie russe
Il y a bien quelques petits couacs notamment à l'entraînement, « Tous les étrangers ont un interprète personnel et quand le coach explique un exercice à l’entraînement, il y en a parfois 6 ou 7 qui entrent sur le terrain. C’est très drôle ». Russes, Camerounais, Tchèques, Brésiliens etc. Sympa l'ambiance à l'entraînement. C'est la mondialisation à Anzhi. Eto'o n'oublie pas son objectif prioritaire en venant dans ce club : jouer la Champion's League, « J’espère que je jouerai la Ligue des Champions l’an prochain. Je ne dis jamais jamais. Et si j’ai signé trois ans, c’est parce que le projet d’Anzhi est sur le long terme ».