Etoo detaille son train de vie de luxe
La rédaction

Samuel Eto'o ne regrette en rien son départ en Russie au club d'Anzhi Makhachkala. Mieux encore, avec tous ses petits privilèges, il estime être un modèle pour les jeunes africains !

Samuel Eto’o a déjà ouvert la marque par deux fois dans son club russe d’Anzhi Makhachkala. Si son choix d’atterrir en Russie a surpris, il s’explique dans les colonnes de L’Equipe sur ce départ. Et se demande bien pourquoi son départ à tant fait parler. « Évidemment, si c'était le même contrat qu'à l'Inter, je ne serais pas venu. Mais c'est bien beau de donner son opinion quand on n'est pas concerné... Et je ne regrette vraiment pas, les installations sont incroyables, les gens formidables avec moi. Avec ce contrat (de trois ans), j'ai montré aussi aux enfants d'Afrique que tout est possible, que si on veut devenir quelqu'un il faut s'en donner les moyens ». C'est certain que dorénavant, les moyens, ce n'est pas ce qui lui manque.

La belle vie en russie

Eto'o ne regrette pas son choix (enfin comment regretter vu ce qu'il va toucher dans l'année) et le club le lui rend bien, « Il me restait le Championnat anglais ou une expérience comme celle-là. C'était un peu comme revenir à mes débuts mais dans des conditions exceptionnelle ». Et Anzhi a mis les petits plats dans les grands, Samuel Eto'o dispose, « d'un garde du corps, un chauffeur, un appartement parfait » Il n'aurait pas oublié le jet privé pour faire les allers-retours de Moscou au Daguestan (1 600 kilomètres). Avec le froid sibérien, il rigolera moins non ? 

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