Basket - NBA : LeBron James et Kyrie Irving évoquent la terrible blessure de Gordon Hayward…
Arthur Montagne -
Journaliste
Affamé de sport, il a grandi au son des moteurs de Formule 1 et des exploits de Ronaldinho. Aujourd’hui, diplomé d'un Master de journalisme de sport, il ne rate plus un Grand Prix de F1 ni un match du PSG, ses deux passions et spécialités

La première nuit de NBA a malheureusement été marquée par la terrible blessure de Gordon Hayward à l’occasion de la défaite des Celtics à Cleveland (99-102) sur laquelle sont revenus LeBron James et Kyrie Irving.

Le retour de la NBA était très attendu, mais il a rapidement été gâché. Au bout de cinq minutes, Gordon Hayward s’est fracturé la cheville pour son premier match avec les Boston Celtics. L’image a déjà fait le tour du monde et a dû choquer les âmes sensibles. C’est un terrible coup dur pour Boston et pour l’ancien joueur d’Utah qui démarrait une nouvelle aventure avec la franchise du Massachusetts aux côtés de Kyrie Irving. Hayward devrait manquer de nombreux mois de compétition. Sa saison est donc d’ores et déjà gâchée, après seulement cinq petites minutes…

« Ce n’est pas agréable d’être présent, mais il faut être fort, continuer de se battre »

Invité à s’exprimer sur la blessure de son nouveau coéquipier, Kyrie Irving, qui effectuait déjà son retour à Cleveland, avoue que cette blessure lui rappelle cette de Paul George : « C’est dur. J’ai vu quelques blessures dans ma carrière, j’ai été blessé également. Les deux pires, probablement, j’étais dans le match : Paul George et ce soir. Ce n’est pas agréable d’être présent, mais il faut être fort, continuer de se battre. » Toujours dans des propos rapportés par BasketUSA, LeBron James a également évoqué sa peine face à une telle blessure : « J’ai vu quelques grosses blessures dans ma vie. Paul George, Shaun Livingston, Kevin Ware en NCAA, à Louisville. Ce sont des blessures qu’on n’anticipe jamais, et qu’on ne veut jamais voir arriver, à personne, peu importe son rang, peu importe la nature de la compétition. C’est malheureux. »

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