Au Brésil, lorsque un joueur casse le matériel, l'arbitre, lui, ne laisse pas passer. Fernandinho, l'ailier de Sao Paulo, a bien retenu la leçon.
Thierry Henry aimait bien les poteaux de corner, mais s'il les maltraitait pour fêter ses buts, il n'en a jamais cassé. Fernandinho, l'ailier offensif de Sao Paulo, n'a pas la même délicatesse. Peut-être parce-qu'il ne marque pas ?