Attaqué par des séparatistes dans l’enclave de Cabinda en Angola le 8 janvier 2010, juste avant le mondial sud-africain, le bus du Togo avait fait la Une des journaux le lendemain. Blessé par balles, Serge Akakpo, le vice-capitaine du Togo se souvient. « D’un coup, ça a commencé à tirer, les vitres ont volé en éclats mais on ne savait pas pourquoi, explique le Togolais dans L'Equipe. C’est seulement après qu’on a compris, quand d’autres détonations ont retenti. CA tirait, ça s’arrêtait, ça reprenait. Heureusement qu’on avait des militaires avec nous. Sans eux, on serait tous morts aujourd’hui… »
Togo - Akakpo : « Sans les militaires, on serait tous morts aujourdhui »