Mesut Özil, d’habitude discret voire effacé devant les medias, s’est lâché lundi en conférence de presse. Le milieu créateur du Real Madrid s’est emporté contre la presse espagnole, coupable selon lui de faire et défaire les carrières de chacun.
« Ici, en Espagne, la presse peut agacer dans le sens où elle te qualifie de meilleur joueur du monde quand tout va bien et te tire dessus quand tu n’es pas au mieux. Je dois m’habituer à cela mais je suis serein car je travaille bien même si je commets des erreurs. Je suis humain. Le plus important, c’est ce que l’entraîneur pense de moi ».