En couple depuis un an et demi, Barbara Berlusconi et Alexandre Pato se sont séparés, d’après La Gazzetta Dello Sport. La fin de l’immunité du Brésilien au Milan AC ?
Le dernier obstacle d’un départ d'Alexandre Pato de Milan s’appelait Barbara Berlusconi. La presse italienne titrant même « Pato, non si tocca » soit « On ne touche pas à Pato » alors que les Rossoneri cherchaient à se séparer des gros salaires. Silvio Berlusconi avait en tête de se séparer de l’éternel blessé (ses indisponibilités cumulées atteignent un total d’une année depuis son arrivée il y a trois ans) en priorité. C’était sans compter la relation amoureuse de fille avec le footballeur qui s’est farouchement opposée à son transfert (notamment au PSG).
La fin d’une amourette La liaison Pato-Barbara défrayait la chronique, le résultat d’un coktail sulfureux entre la fille de l’ex-chef du Conseil italien et d’une star du ballon rond. Si l’on ignore encore à l’heure actuelle les causes de cette tragique séparation, on peut d’ores et déjà gager qu’elle aura son lot de conséquences. Et non des moindres. Alexandre Pato aurait confié à des amis que la relation battait de l’aile depuis quelques temps déjà. Barbara avait déjà été repéré seule à Saint-Moritz alors que son ex-chéri était en Italie pour assister à la défaite de ses collègues en ouverture du championnat contre la Sampdoria (0-1). Désormais, plus personne n’est en mesure de convaincre Silvio Berlusconi de ne pas vendre celui qui avait été acheté 22 millions d’euros à 17 ans.
Un départ presque inévitable La situation financière du Milan AC est telle, que de grosses ventes au prochain mercato estival sont quasi obligatoires pour continuer à assainir les comptes (Berlusconi ne pouvant plus mettre à la main à la poche à cause des différents procès dont il fait l’objet). D’autant plus qu’entre-temps, une épine est venue se hisser dans le pied de Pato et se nomme Giampaolo Pazzini, auteur d’un triplé contre Bologne. C’est déjà plus en un match que le total de buts inscrits par « canard boîteux » la saison dernière.
Par Adrien Verrecchia