Transfert avorté à l’OM : Il balance tout !
Bernard Colas -
Journaliste
Passionné de sport, de cinéma et de télévision (à l’écran comme derrière) depuis son enfance, Bernard est journaliste pour le 10 Sport depuis 2018. Plus habile clavier en main que ballon au pied, il décide de couvrir principalement un sport adulé, critiqué et détesté à la fois (le football) et un sport qui n’en est pas un (le catch).

Passé par Le Mans ou encore le RC Lens, Daniel Cousin n’a jamais joué à l’OM, et ce malgré des discussions pour un transfert dans la cité phocéenne. Aujourd’hui à la retraite, l’ancien attaquant qui a été formé dans un club marseillais est revenu sur ce moment de sa carrière.

Passé par l’US Michelis, basé dans le 11e arrondissement de Marseille, Daniel Cousin a porté le maillot de plusieurs formations françaises au cours de sa carrière, évoluant à Martigues, Niort, Le Mans puis le RC Lens avant de rejoindre l’étranger. L’attaquant, aujourd’hui âgé de 48 ans, n’a en revanche jamais joué à l’OM, malgré des négociations.

« Il y avait une discussion, mais ça ne s’est pas fait »

Invité de l’émission 100% Foot Farid & Co diffusée sur Instagram, Daniel Cousin a révélé avoir eu des échanges avec les dirigeants de l’OM en 2007, et son départ en Écosse. « Il y avait une discussion avant que je parte à Glasgow, mais voilà, ça ne s’est pas fait, parce que je travaille avec des agents. À l’époque, c’était Pape Diouf et José Anigo. Les discussions avaient un peu commencé, mais ça ne s’est pas éternisé », a-t-il confié, rapporté par Foot Marseillais.

« C'est dommage, parce que je pense que j'avais les qualités pour jouer à l’OM »

En 2020, le Gabonais avait affiché des regrets de ne pas avoir pu jouer à l’OM. « A un moment donné ça aurait pu se faire. Il y avait eu quelques petites discussions, puis ça ne s'est pas fait, s’était-il souvenu auprès de Football entretien. C'est dommage, parce que je pense que j'avais les qualités pour jouer. Je ne me compare pas à des monstres comme Papin, Drogba ou d'autres, mais il y a certains attaquants, et ce n'est pas pour le dénigrer, du calibre de Brandao, dont je ne me sentais pas en dessous. Après, c'est le foot. Mais ça reste un regret. »

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