Alors qu’il avait dénoncé la rupture de son contrat par l’OM, survenue en août 2019, Adil Rami a été débouté par le conseil de prud’hommes.
Deux ans après son départ, Adil Rami n’en a pas fini avec l’Olympique de Marseille. Aujourd’hui à Troyes, le défenseur de 36 ans avait été licencié pour faute grave par Jacques-HenriEyraud en 2019, l’incitant à saisir le conseil de prud’hommes pour contester cette rupture de contrat jugée abusive, alors que son bail courait jusqu’à l’été 2021. AdilRami réclamait ainsi près de 4M€ pour ces deux années de contrat ainsi que des dommages et intérêts, mais le joueur a été débouté de sa demande par les prud’hommes.
Les prud’hommes ont tranché après le licenciement de Rami
D’après les informations de L’Équipe, le conseil de prud’hommes a jugé que la rupture de contrat décidé par l’OM était justifiée. Le club phocéen n’aura donc pas à verser les 4M€ réclamés par AdilRami, mais l’OM a toutefois été condamné concernant des retenues sur salaire très élevées jugées « abusives » par la cour, dont une partie devra être remboursée au joueur en plus de quelques dommages et intérêts. Selon L’Équipe, AdilRami devrait faire appel de cette décision devant la cour d'appel d'Aix-en-Provence.