Le PSG en plein conflit, il reçoit une bonne nouvelle
Baptiste Berkowicz

Alors que le PSG inaugure cet été son nouveau centre d'entrainement à Poissy, les dirigeants parisiens ne souhaitent pas s'arrêter là dans la métamorphose des infrastructures du club de la capitale. La question autour de l'achat du stade dans lequel évolue le PSG est toujours active. Anne Hidalgo ne démord pas sur sa position autour du Parc des Princes mais ne compte pas faire la guerre aux Parisiens pour le Stade de France. 

Toujours en quête de valorisation pour le PSG, les dirigeants du club de la capitale souhaitent toujours devenir propriétaire de leur stade. En ce sens, l'option du Parc des Princes avait clairement pris du plomb dans l'aile après la position très ferme de la Mairie de Paris. La piste menant au Stade de France pourrait bien avancer dans les prochaines semaines.

La Mairie de Paris pas candidate au Stade de France

Pour acheter ou exploiter le Stade de France à partir de mi-2025, l'État a lancé deux procédures en parallèle : l'une porte sur la cession de l'enceinte de 80 000 places, l'autre sur le renouvellement de la concession accordée en 1995 au consortium Vinci-Bouygues, les deux groupes de BTP qui ont construit le stade pour la Coupe du monde de 1998. La mairie de Paris n'est pas « candidate au rachat du Stade de France » au travers d'un quelconque partenariat, a assuré mercredi, au Conseil de Paris, la Maire Anne Hidalgo.

Le PSG en pôle position

Jusqu'ici, seuls les propriétaires qataris du PSG se sont officiellement manifestés jusqu'ici pour le rachat, après la décision d'Anne Hidalgo en janvier de ne pas leur vendre le Parc des Princes. Alors que le club de la capitale est locataire sur la base d'un bail de trente ans qui court jusqu'en 2044, les Parisiens ont proposé de le racheter pour 38 M€, a réaffirmé la Maire de Paris, « ce que nous avons jugé de l'ordre de la spoliation des Parisiens ». 

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