Cet été, le PSG est entré dans une nouvelle dimension, en recrutant Ibrahimovic, Thiago Silva et Lavezzi. Mais l’avant-centre argentin, assez discret depuis son arrivée, révèle à la presse italienne son mal-être.
Si tous les regards se sont braqués sur les deux stars milanaises Thiago Silva et Ibrahimovic, l’arrivée d’Ezequiel Lavezzi est également un gros coup sportif pour le Paris-Saint-Germain. En recrutant l’argentin, le club de la capitale se lie avec un élément offensif technique, accrocheur et efficace. Pourtant, depuis son arrivée, le talent de l’ancien joueur de Naples reste bien caché. Si sur quelques contrôles, passes ou frappes, Lavezzi a montré qu’il était un joueur de classe mondiale, ses prestations d’ensemble restent trop mitigées. L’intégration est peut-être plus difficile que prévue…
« Je me sens nostalgique de Naples »
Lui-même a reconnu, cette semaine, que ses performances étaient insuffisantes en sélection, au micro de Tyc Sports : « Je sais que ce n’est pas suffisant. Je n’ai pas fait en sélection une sortie digne de celles que je réalisais à Naples. Je sais faire mon autocritique et je suis un peu agacé d’avoir aussi peu de football dans les jambes en ce moment, d’autant plus que la suspension après seulement deux journées de Ligue1 n’a rien arrangé ». Et aujourd’hui,Ezequiel Lavezzi a profité d’un entretien accordé au site Tuttonapoli.net pour donner les raisons de ses débuts difficiles dans l’hexagone : « Je me sens nostalgique de Naples. En Italie, nous avions une maison près de la mer. Ça me donnait une autre énergie ».
Les dirigeants qataris vont arranger ça. Comment ? En faisant venir la mer à Paris…
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