OM un nouvel attaquant pour aider Gignac
La rédaction

Depuis le départ de Mamadou Niang, l'attaque marseillaise est malade. Pour remédier à ce problème, les dirigeants olympiens souhaiteraient acquérir le jeune français de la Real Sociedad, Antoine Griezmann.

La France a dû mal à retenir ces jeunes talents. C'est une nouvelle personne. On ne compte plus les pépites qui préfèrent s'expatrier plutôt que de parfaire leur apprentissage au sein de notre bonne vieille Ligue 1. Pour certains, l'histoire vire au cauchemar. Mais pour d'autres, cela ressemble plus au conte de fée. C'est ce qui est arrivé à Antoine Griezmann.

Son départ à l'étranger, un choix payant

Originaire de Mâcon, l'international espoir est repéré en 2005 par la Real Sociedad, lors du tournoi de Montpellier. Comme Le Tallec et autres Sinama-Pongolle, Griezmann choisit l'étranger alors qu'il n'a que 14ans. Bonne pioche pour la Real, puisqu'il s'impose rapidement comme un attaquant incontournable en seconde divison espagnole. La remontée en Ligue 1 de l'ex club de Raynald Denoueix cette saison et sa participation au titre de champion d'europe des -19 ans le révèle aux yeux du grand public. Rapide, technique et doté d'une très bonne capacité de centre, le jeune basque donne du fil à retordre à plus d'un arrière droit de la Liga.

L'OM propose 15 millions d'euros pour Griezmann

Ses performances ne passent pas inaperçues et Griezmann est annoncé un peu partout en Europe. Mais le Français ne serait pas contre un retour au bercail. Intéressant. C'est ce qu'à du se dire l'Olympique de Marseille. Selon El Mundo Deportivo, les olympiens auraient jeté leur dévolu sur l'ailier gauche de 19 ans. Et le moins que l'on puisse dire, c'est que les marseillais apprécient énormément Griezmann. Ils souhaiterait l'enrôler lors du mercato estival en mettant 15 millions d'euros sur la table. Une somme conséquente quand on sait que l'OM vient de débourser prêt de 30 millions d'euros pour acquérir Rémy et Gignac. Les attaquants phocéens ne doivent pas dormir sur les deux oreilles. Car une chose est sûre, si le basque arrive sur la Cannebière, ça va déménager.