Prête à tout pour faire parler d'elle, Alexandra Paressant semble avoir touché le fond avec la mise en scène de sa mort? virtuelle ?
Non, Alexandra Paressant n’est pas morte contrairement à ce que pourrait laisser penser son profil Facebook saturé par des messages emplis de tristesse et de fautes d’orthographe : « RIP my friend! », « Ca fais bizarre de plus voir tes commentaires toi qui adorait facebook pour faire passer tes messages » ou encore « mon deuxièmes soirs sans toi repose en paix bel ange! ». Même l’attaquant lillois Tulio de Melo (faux profil ') y va de son petit message : « Rest in peace Alexandra, now you're an angel, your pain finally has stopped, now be happy for eternety :) ». Elle n’est pas morte puisqu’elle nous a répondu depuis son lit d’hôpital à Lyon…
Une colocatrice imaginaire ? Après échange de textos (sa grande spécialité) soi-disant envoyés par sa colocatrice, mais signés par sa mère (vous n’avez rien compris ? Nous non plus), nous avons enfin réussi à la joindre. L’expérience d’appeler quelqu’un que l’on suppose mort est assez particulière, surtout lorsque cette personne décroche ! « Vous êtes tous pareil les journalistes. On s’absente une semaine et ça y est on existe plus. De toute façon, comme dit le proverbe : on n’est jamais mieux renseigné que par soi même… » Dont acte, mais pour Facebook, nous n’y sommes pour rien : « ça doit être ma colocatrice, je lui ai dit de gérer mon compte pendant mon hospitalisation ». Cette même colocatrice qui nous a envoyé un texto en se faisant passer pour sa mère… Etrange.
Retrouvez le dénouement de cette intrigue dans le 10 Sport depuis jeudi dans vos kiosques.