Dans Le Parisien ce vendredi, Nicolas de Tavernost, le représentant de l'actionnaire principal des Girondins de Bordeaux, explique pourquoi selon lui, les déficits des clubs français repartent à la hausse : « Comme dans le cinéma, les talents, c'est-à-dire les joueurs, valent de plus en plus cher. Et le rapport de forces entre eux et les clubs s'est inversé, souvent par la faute des clubs eux-mêmes qui ne résistent pas à la tentation « du joueur en plus », d'où une surenchère artificielle. La collectivité foot ne peut donc s'en prendre qu'à elle-même. Pourquoi ne pas avoir introduit comme aux États-Unis le cap salarial (plafonnement de la masse salariale, comme en basket NBA, ndlr) dans la notion bien floue du futur fairplay financier ? », s’interroge-t-il.
De Tavernost : « Pourquoi ne pas avoir introduit le cap salarial ? »