La Confédération africaine de football était au courant des risques pesant sur la région de Cabinda, zone où le bus de l'équipe du Togo a été mitraillé par des rebelles le 8 janvier.«Le président de la FIFA (Ndlr : Joseph Blatter) avait reçu une lettre de la représentation cabindaise en Suisse qu'il m'avait fait suivre, le 27 octobre, et j'ai envoyé une copie de ce courrier à la Confédération africaine de football. On avait reçu cette information et cette menace qui planait sur toute personne qui se rendrait dans cette région», a affirmé Jérôme Valcke, secrétaire général de la FIFA sur les ondes de France Bleu.