Jessica nest pas quune potiche
La rédaction

Jessica Lawlor, fiancée du joueur de Manchester City Stephen Ireland, en a ras la casquette de la mauvaise réputation des femmes de joueur. Son mode de vie colle pourtant bien avec les standards de ses amies WAG.

«Ce n’est pas facile d’être une femme de footballeur !» Ce cri déchirant nous vient de Jessica Lawlor compagne de Stephen Ireland. La "belle" en a marre d’attirer les ricanements sur son supposé style de vie, assurant mener une vie très simple. «Etre une WAG, ce n’est pas uniquement ne rien faire ou juste du shopping. Ce n’est pas du tout le cas. Quand les gens voient les voitures ou la maison que nous avons, ils pensent que c’est une vie facile. Mais toute mère de trois jeunes enfants (Jessica a un enfant avec le Citizen qui a également deux enfants d’une précédente relation) sait que ce n’est pas un job facile. L’argent ne change rien à cela. Mes journées commencent à 7 heures et nous n’avons pas de nourrices pour s’occuper des enfants

Jessica essaie de nous attendrir mais ça ne marche pas. Car son quotidien est bien loin de celui de la femme de maison. Fiancée à un joueur qui touche près de 70 000 euros par semaine, Jessica a à sa disposition deux femmes de ménage pour entretenir leur villa luxueuse qui comporte une piscine intérieur, six chambres, un cinéma et une salle de billard. La jeune fille, qui dépense en moyenne 1 000 euros pour se faire belle, a reçu récemment pour son anniversaire une Bentley personnalisée («To Jess, Love Stephen») à 260 000 euros qu’elle a endommagé en moins d'une semaine en se garant.

La «simple» Jess est aussi à l’origine de la fin de carrière internationale d’Ireland. En septembre 2007, Stephen Ireland avait demandé à son sélectionneur, Steve Staunton, de quitter le groupe en raison du décès de sa grand-mère. Mais celle-ci était bien vivante. Après s’être empêtré dans plusieurs mensonges, Ireland avait avoué avoir menti sur les conseils de Jessica pour la rejoindre au plus vite car celle-ci s’ennuyait, seule à la maison. Et ça, c’est pas un caprice de WAG, Jess ?