Après avoir traité Zinédine Zidane de « pute » et de « panneau publicitaire à trois neurones », Christophe Alévêque a fait savoir par le biais de son avocat qu'il «regrette l'emploi de certains termes ».
Décidemment, on n'a pas fini d'entendre parler du conflit entre Zinédine Zidane et Christophe Alévêque. Après avoir copieusement insulté l'ancienne gloire du Real Madrid dans une interview accordée à SportMag, le Parisien rapporte les explications de l'humoriste par le biais de son avocat, Me Pascal Gabarini.
Alévêque regrette certaines choses
Christophe Alévêque a simplement pointé du doigt le fait que Zidane «ait fait le choix de rester, après sa carrière de joueur, un personnage public et d’en faire le commerce. C’est dans ce contexte et surtout celui de la liberté d’expression et du droit à l’humour que cette critique a été formulée», a déclaré l'avocat. Enfin Me Gabarini a conclu en affirmant que son client «regrette l’emploi de certains termes». Mais, pour l'avocat, son client «n’a fait qu’user d’une liberté de ton et d’un droit à l’insolence propre à tout humoriste et nécessaire au débat public». Pas sûr que Zizou l'ait pris sur le ton de la rigolade !