Dans les colonnes de L’Equipe, Charles Kaboré est revenu sur ses premiers mois en Russie, au Kuban Krasnodar : « J’ai vraiment ressenti la solitude. Moi, j’avais l’habitude du Burkina et de la France, où je parlais la même langue que les autres. Là, j’arrivais dans un pays complètement inconnu. Avant de venir, je ne savais pas qu’il y avait un club qui s’appelait Kuban, et je ne savais même pas où c’était ! Les premiers jours ici, je me disais tout le temps : mais qu’est-ce que je fais là ? Mais quelle décision j’ai prise ? Aujourd’hui, je suis heureux ».
Kaboré : « Aujourd’hui, je suis heureux »