Thierry Henry et Raymond Domenech avaient désamorcé la bombe lâchée lundi par Le Parisien sur un clash entre les deux hommes. Nicolas Anelka est, lui, plus nuancé, reconnaissant q'une réunion a bien eu lieu.
Deux jours durant, Raymond Domenech et Thierry Henry se sont attachés à faire bonne figure publiquement assurant qu'aucun «divorce», pour reprendre le terme employé à la Une du Parisien lundi dernier, n'avait été consommé chez les Bleus.
La déclaration de Nicolas Anelka, après le match nul en Serbie (1-1), apporte un nouvel éclairage sur cet épisode interne : «Il s'est passé ce qu'il s'est passé durant une réunion, à savoir une explication entre joueurs et le coach. C'est naturel et logique quand tout ne va pas bien. On est parti sur le principe que l'on voulait changer quelque chose et je pense que cela s'est vu sur le match de la Roumanie, et encore plus sur celui-ci. On est satisfait de cette réunion puisque l'on a réussi depuis à développer un meilleur jeu.» Une manière implicite de reconnaître une distance toujours plus grande entre les Bleus et leur sélectionneur ?