Le journaliste Canal+, Pierre Ménès, a commenté la première défaite de l’Uruguay et d’Edinson Cavani lors de leur entrée en lice au Mondial.
Tout débutait parfaitement pour l’Uruguay et Edinson Cavani lors de leur premier match de la Coupe du monde face au Costa Rica, avec un pénalty transformé dès la 24e minute par l’attaquant du PSG. Mais malheureusement, les coéquipiers du Parisien s'écrouleront et encaisseront une défaite surprise 3-1. Sur son blog, Pierre Ménès ne s’est pas montré tendre envers l’ancien Napolitain, puisqu’il estime que « Cavani a confirmé sous le maillot de sa sélection les difficultés rencontrées sous celui du PSG ces derniers mois. » Alors, le buteur du PSG saura-t-il relever la tête dès la prochaine rencontre ou existe-t-il un véritable malaise Cavani ?
« ON ATTENDAIT CAVANI… »
« Pour l’Uruguay, ça ne s'est pas du tout passé comme prévu. (…) Luis Suarez, s'il n'est pas rentré hier soir, même dix minutes, c'est qu'il n'est pas capable de jouer. On peut même se demander s'il sera en mesure de le faire avant la fin du premier tour. Et si tel est le cas, dans quel état ? Alors on attendait Cavani. Mais El Matador a confirmé sous le maillot de sa sélection les difficultés rencontrées sous celui du PSG ces derniers mois. Et cette fois, il joue dans l'axe. Avec cette décevante entrée en matière, l'Uruguay se retrouve déjà dans une position délicate. »Pierre Ménès a également évoqué le deuxième match de cette poule entre l’Angleterre et l’Italie, où trois joueurs du PSG entraient en lice : Marco Verratti,Thiago Motta et Salvatore Sirigu.
L’ENTENTE ENTRE PIRLO ET VERRATTI
« D'autant plus délicate que l'autre match du groupe, de très haute tenue, a mis en lumière les qualités de l'Italie et de l'Angleterre. Disputé sous une chaleur accablante et sur une pelouse pelée, ce choc a pourtant tenu toutes ses promesses. L'Angleterre s'est montrée sous un visage des plus séduisants, Sirigu - qui remplaçait Buffon blessé - devant s'employer à plusieurs reprises et avec brio. L'Italie a réussi à inscrire deux jolis buts sans pour autant se créer une foultitude d'occasions, à part le lob de Balotelli sauvé sur la ligne par Jagielka et le coup-franc de Pirlo sur la barre en fin de match. L'Architecte a encore été magique. Encenser Pirlo est quasiment une perte de temps. Tout ce qu'il a fait était marqué du sceau de la classe et son entente avec Verratti - et peut-être plus encore avec Thiago Motta qui lui permettait d'être un peu plus offensif - donne à la Nazionale des motifs d'espoir pour la suite de ce Mondial. », a ainsi publié Pierre Ménès sur son blog.