Pointé du doigt par l’enquête du Guardian la semaine passée, qui mettait en lumière l’exploitation d’ouvriers népalais sur les chantiers de la Coupe du Monde 2022 et la mort de 44 d’entre-eux, le Qatar s’est défendu par la voix d’un des responsables de l’Etat du golfe. « Il n’y a pas d’esclavagisme ou de travail forcé au Qatar » a soutenu Ali Al-Marri, président du comité national des droits de l’Homme, dans des propos relayés par l’AFP.
Coupe du Monde 2022 : Le Qatar dément les accusations