C’est le quotidien de l’entraîneur contemporain. Avant même de parler tactique, les techniciens actuels doivent avant tout gérer un vestiaire, et tous les égos qui le composent. A Manchester City, Roberto Mancini est servi. Et apparemment, Balotelli est en passe de déteindre sur lui.
Les millions de City ont un inconvénient. En achetant de nombreux joueurs de talent, le club de Manchester additionne les melons surdimensionnés. Mancini, qui voit ses joueurs flamber sur le terrain et en dehors, a hérité de la maladie.
Cette semaine à l’entrainement, le coach italien s’est ramené avec de nouvelles pompes. Avec, inscrite un peu grossièrement au feutre, l’inscription « boss ». Pour que ces footeux n’oublient pas qui est le vrai patron ?