Ancien joueur du Special One, Demba Ba a livré quelques conseils aux joueurs de Chelsea, pour ne pas qu’ils s’attirent les foudres de José Mourinho.
Le miracle ne s’est pas encore produit. Revenu la saison dernière tel le Messie, José Mourinho n’a pas encore réussi à conquérir un titre avec le club londonien. Pour cette saison pourtant, c’est bien parti, puisque Chelsea est seul en tête de la Premier League avec quatre points d’avance sur son premier poursuivant, Southampton. Les hommes du Special One écrasent actuellement tout sur leur passage et se placent comme de sérieux prétendants au titre, que ce soit en championnat ou en Ligue des Champions. Pour le moment, tout va bien…
« MOURINHO DÉTESTE PERDRE »
Mais ça pourrait bien changer ! Car Chelsea avait totalement hypothéqué ses chances de conquérir le titre en Premier League l’année dernière, avec une triste série de défaites en fin de saison face à Aston Villa, Crystal Palace et Sunderland… Ce qui n’avait pas manqué de rendre furieux José Mourinho. « Mourinho déteste perdre » a assuré Demba Ba, qui a évolué sous les ordres du Portugais l’année dernière, dans des propos relayés par le Daily Star. « Je conseillerais aux joueurs de Chelsea de ne pas essayer de lui parler après une défaite. Mais en cas de victoire il est bon d’être à ses côtés ».
« À BESIKTAS, LES SUPPORTERS SONT INCROYABLES ! »
Désormais à Besiktas, l’international sénégalais est sous les ordres d’un autre coach au tempérament sulfureux, Slaven Bilic, ancien défenseur de la Croatie et de clubs tels que West Ham ou Everton. « Bilic est un grand manager, mais il possède également un staff très professionnel, qui l’aide énormément » a confié Demba Ba, qui avoue se plaire dans son nouveau club, où la ferveur des supporters est selon lui sans égale. « Nous avons des fans incroyables. C’est la première fois que je vois des supporters encourager leur équipe de l’échauffement d’avant-match jusqu’à ce qu’on prenne le bus après la rencontre pour rentrer à la maison. Je n’ai pas de mots pour décrire la folie qui règne ici… Et ce sera encore plus fou quand on jouera dans notre nouveau stade, vous verrez ! ».