Double buteur samedi avec le Bayern Munich face au Werder Brême, Franck Ribéry a tenu à mettre les choses au clair concernant quelques dossiers chauds qui le bouffent. Extraits.
Interrogé par Astrid Bard, sur le plateau du Canal Football Club, Franck Ribéry a lâché les chevaux. Décapant.
En bleu, ribéry est stressé
« En Allemagne, j’ai un contact magnifique avec les supporters du Bayern. Ils attendent toujours que je fasse la différence, ça me donne la force de toujours attaquer. Mon corps est libre ici. Je tente des gestes. En équipe de France, je sens souvent que tout ce que je fais, c’est forcé.
Ribéry ne comprend pas ses les sifflets du sdf
« C’est toujours difficile d’entendre cela. Je me demande souvent : ‘qu’est-ce ce que je fais ici '’ Je vois cela comme de la méchanceté. Je me demande si j’ai fait quelque chose de très grave, je me suis posé des questions ».
Ribéry a balayé zahia
« Peut-être que j’ai une mauvaise image à cause de la dernière Coupe du monde, les problèmes privés que j’ai eus aussi. Maintenant, c’est un gros soulagement, c’est terminé. Cela a été difficile d’affronter tout ça, je suis passé par des chemins bizarres. Cela a été difficile pour mes proches et ma femme. Désormais, on est de nouveau heureux, ça se passe bien en ce moment ».
Ribéry appelle son fils comme il veut
« Ma conversion à l’Islam a changé des choses pour beaucoup de personnes. Mais pas pour moi, je reste français. Par ailleurs, je ne comprends pas où est le problème du prénom de mon fils (Seïf el Islam est le même prénom que le fils du colonel Khadafi, décédé depuis). Le rapport avec Khadafi, ça m’agace, c’est chiant ».
Ribéry est loin d’être bête
« Les Guignols de l’info, cela ne m’a jamais gêné. Je suis le clown, cela montre que je suis une personnalité. Mais je sais parler allemand, cela surprend pas mal de monde. Cela montre que je ne suis pas non plus bête ».