Zidane - PSG : Le feuilleton est encore relancé
La rédaction

Depuis l'annonce de la prolongation de Didier Deschamps à la tête des Bleus jusqu'en 2026, le nom de Zinédine Zidane est évoqué un peu partout et ne cesse d'alimenter les rumeurs de transfert. Un tant annoncé au Real Madrid, le technicien français semblait être barré par la concurrence de Julian Nagelsmann, récemment licencié du Bayern Munich qui plaisait beaucoup à Florentino Pérez. Mais l'Allemand est également convoité par de nombreux clubs anglais et Chelsea vient relancer le feuilleton. Le PSG a toutes les raisons d'avoir peur de voir ainsi leur piste numéro 1 se rapprocher du Real Madrid.

Le nom de Zinédine Zidane qui court dans les couloirs du Camp des Loges, ce n'est pas nouveau. Comme révélé en exclusivité par le 10sport.com, le Qatar rêve de faire venir le Ballon d'Or 1998 sur le banc du Paris Saint-Germain. La récente élimination du PSG en huitième de finale de la Ligue des Champions semble précipiter l'avenir de Christophe Galtier et le PSG réfléchirait sérieusement à retenter le coup Zidane, déjà tenté l'été dernier...

Chelsea en trouble-fête ? 

C'est la bombe du jour en Angleterre, Chelsea pourrait considérablement venir bouleverser les plans de Tottenham dans sa recherche de coach. Malgré un mercato XXXL, les Blues, entraînés par Graham Potter ne parviennent pas à sortir de leur morosité en Premier League (10èmes), à défaut de briller en Ligue des Champions suite à la qualification en quart de finale après avoir battu Dortmund, le leader de la Bundesliga (2-1 score cumulé). Selon le Dailymail, Chelsea pourrait chercher à attirer sur son banc le tout juste licencié du Bayern Munich, Julian Nagelsmann

Le PSG impacté indirectement ? 

Un choix qui n'arrangerait pas le PSG puisque Julian Nagelsmann était l'un des concurrents les plus sérieux à Zinédine Zidane pour entraîner le Real Madrid en cas de départ de Carlo Ancelotti. En cas d'échec Nagelsmann, le Real Madrid pourrait être tenter de faire revenir pour la troisième fois Zidane sur leur banc et ainsi faire renoncer aux dirigeants qataris leur rêve. 

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