Un attaquant signe, l'ASSE fait déjà une annonce
Arthur Montagne -
Journaliste
Affamé de sport, il a grandi au son des moteurs de Formule 1 et des exploits de Ronaldinho. Aujourd’hui, diplomé d'un Master de journalisme de sport, il ne rate plus un Grand Prix de F1 ni un match du PSG, ses deux passions et spécialités

Après l'arrivée d'Ibrahima Sissoko, l'ASSE cherchait encore un renfort offensif après le départ de Jean-Philippe Krasso. C'est ainsi que le club du Forez a obtenu le prêt sans option d'achat de Stéphane Diarra en provenance du FC Lorient. Présent en conférence de presse à l'occasion de la présentation de son nouvel attaquant, Laurent Batlles a d'ailleurs donné des précisions sur son utilisation.

Cet été, la priorité de l'ASSE était de renforcer son secteur offensif. Et pour cause, Jean-Philippe Krasso, l'atout offensif numéro 1 du club du Forez, est parti libre et s'est engagé avec l'Etoile Rouge de Belgrade. Ainsi, les Verts ont rapidement attiré Ibrahima Sissoko qui a débarqué libre en provenance de Sochaux. Mais les Stéphanois ne se sont pas arrêtés là et viennent d'obtenir le prêt sans option d'achat de Stéphane Diarra, ce qui réjouit Laurent Batlles.

Batlles justifie le choix Diarra

« On l’a pris aussi pour sa polyvalence. Il a été formé à gauche, son pied gauche lui permet d’amener des centres. On peut le faire jouer à droite avec son "faux pied" en rentrant. C’est possible aussi de le faire jouer sous un attaquant, avec ses qualités de vitesse, de percussion. Il a cette polyvalence qui peut nous amener pas mal de points positifs. Ça va aussi apporter de la concurrence », assure l'entraîneur de l'ASSE en conférence de presse avant de poursuivre..

«On l’a pris aussi pour sa polyvalence»

« Ça peut être sur le poste de piston comme un poste un peu plus à l’intérieur. Aujourd’hui, le rôle que l’on a c’est d’essayer d’avoir le ballon haut notamment dans le terrain adverse. C’est dans ce cadre-là qu’on a pris Stéphane (Diarra). C’est un rôle où on doit imposer quelque chose à l’adversaire. Il faut qu’on ait la possibilité d’avoir le ballon haut et de se servir de sa percussion dans les 30 derniers mètres », ajoute Laurent Batlles.

Articles liés