Transferts - PSG : Icardi est bradé sur le mercato, il hallucine
Arthur Montagne -
Journaliste
Affamé de sport, il a grandi au son des moteurs de Formule 1 et des exploits de Ronaldinho. Aujourd’hui, diplomé d'un Master de journalisme de sport, il ne rate plus un Grand Prix de F1 ni un match du PSG, ses deux passions et spécialités

Alors que Mauro Icardi a été prêté sans option d'achat à Galatasaray et que le PSG conserve l'immense majorité du salaire de l'attaquant argentin, Daniel Riolo affiche son incompréhension face à la gestion d'Antero Henrique qui a laissé partir plusieurs joueurs avec ce type d'opérations.

Cet été, le PSG s'est retrouvé confronté à une problématique. En effet, bien décidé à alléger son effectif, le club de la capitale devait se séparer de joueurs jugés indésirables, mais dont les salaires sont hors d'atteinte pour l'immense majorité des clubs. Par conséquent, afin de réussi à boucler certains départs, Antero Henrique, en charge des négociations économiques sur le mercato cet été, a du consentir à de gros efforts, à l'image du prêt de Mauro Icardi à Galatasaray. Un prêt gratuit, sans option d'achat, et pour lequel le PSG continue de payer 6M€ par à l'Argentin, sur les 6,75M€ de son salaire. Une stratégie qui rend fou Daniel Riolo.

«C’est une nouvelle façon de faire» 

« Galatasaray file une poignée de figues à Icardi et le PSG paie 6 millions d’euros par an. C’est quand même incroyable… Ils ne l’ont pas fait que pour Icardi cette combine, ils ont allégé le vestiaire en disant aux mecs de partir mais en fait, le PSG continue de payer les salaires pour que les joueurs aillent dans d’autres clubs. C’est une nouvelle façon de faire… », lance le journaliste au micro de RMC avant d'en rajouter une couche. 

«On donne les joueurs, ils jouent gratos, c’est le PSG qui paie»

« C’était quoi finalement le travail d’Antero Henrique : appeler les clubs pour leur refourguer les joueurs mais leur dire que c’est gratos, le PSG paie ? Je pense que ça, même moi j’étais capable de le faire, pas besoin d’avoir les connexions avec. On donne les joueurs, ils jouent gratos, c’est le PSG qui paie… C’est le bonheur ! », conclut Daniel Riolo.

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