Ce mardi 9 juillet, Roberto De Zerbi tenait sa première conférence de presse dans le costume d’entraîneur de l’OM. Le coach de 45 ans a ainsi été soumis à de nombreux questions, certaines portant notamment sur le projet de jeu qu’il compte instaurer au sein du club phocéen. Et l’Italien a rappelé sa passion pour le football, et le fait qu’il veut donner une véritable identité à sa nouvelle équipe.
Après avoir été officiellement annoncé comme étant le nouvel entraîneur de l’OM le 29 juin dernier, Roberto de Zerbi avait l’occasion de s’exprimer publiquement pour la première fois depuis sa signature. Si l’Italien a répondu à de très nombreuses questions aux côtés de Pablo Longoria, le style de jeu qu’il compte tenter de faire pratiquer à son effectif a forcément été un sujet récurrent. L’ancien coach de Brighton a livré quelques premiers éléments de réponse.
Mercato : De Zerbi se lâche sur sa signature à l’OM https://t.co/2vZzXAtsMY pic.twitter.com/et3mWTSQ9Y
— le10sport (@le10sport) July 9, 2024
« On veut une équipe forte avec une identité »
Questionné à propos du style de football que pratiquera son OM, Roberto De Zerbi semble avoir un grand principe en tête, à savoir le fait qu’il souhaite voir une équipe avec une identité marquée : « Je me définis comme un malade de football, qui le vit de manière exagérée. Le football c'est blanc ou noir pas gris. D'un point de vue footballistique, il faut jouer avec courage, s'amuser sur le terrain tout en sachant ce que l'on doit faire. On veut une équipe forte avec une identité marquée sur le terrain. Ce sera ma responsabilité de donner une identité de jeu. »
« je veux de la personnalité dès le premier match amical. »
Roberto De Zerbi a poursuivi dans cette voie dans la suite de sa réponse. L’Italien veut des joueurs déterminés, qui jouent avec du carctère : « On veut des joueurs qui ont conscience de ce que c'est de jeu à Marseille. [...] Je ferai toujours mon travail en respectant la politique du club. Pour le caractère, je veux de la personnalité dès le premier match amical. Avoir un joueur aujourd'hui, ce n'est pas pareil que de l'avoir le 20 août au niveau technico-tactique. »