Même si l’ASSE a concédé le match nul dimanche contre l’AS Monaco, Pierre Ménès souligne une amélioration dans le jeu des Verts, grâce notamment aux deux recrues offensives bouclées par Christophe Galtier durant le mercato hivernal.
Recrutés par l’ASSE en janvier dernier, Alexander Söderlund (1,5M€) et Oussama Tannane (1,5M€) ont apporté un nouveau souffle sur l’attaque des Verts. Les deux renforts de Christophe Galtier ont déjà trouvé le chemin des filets en Ligue 1, et se montrent déjà décisifs alors que l’ASSE était pointée du doigt pour son manque cruel de réalisme offensif en première partie de saison. Sur son blog officiel ce lundi, Pierre Ménès évoque ces recrues précieuses pour Christophe Galtier malgré le nul concédé dimanche face à l’AS Monaco (1-1).
« Saint va mieux sur le plan offensif »
« La classe de Subasic en début de match puis une certaine maladresse de l’attaque stéphanoise ont laissé la possibilité à l’ASM de revenir. Mais il n’empêche que depuis les arrivées de Tannane et de Soderlund, Sainté va mieux sur le plan offensif. On est bien d’accord, le Norvégien n’est pas l’avant-centre du siècle mais il pèse, parfois il rate des choses assez simples et à d’autres moments, il réussit des trucs pas mal du tout. Avec le jeune Tannane qui a clairement de la qualité et un Monnet-Paquet dans une bonne forme, ça suffit à transformer un peu le jeu de l’ASSE, même sans Hamouma. D’une équipe considérée depuis plusieurs saisons comme solide et qui obtenait ses résultats sur l’impact physique et le mental, on est passé à un jeu qui commence à devenir plus séduisant », lâche Pierre Ménès sur l’ASSE.
Les regrets de Galtier
Christophe Galtier, l’entraîneur de l’ASSE, a affiché sa déception avec ce match nul contre l’AS Monaco : « Nous avons des regrets car nous voulions être dans la continuité des derniers matches. Nous l'avons été dans le contenu avec beaucoup d'enthousiasme et de détermination, et nous ne sommes pas récompensés. C'est la fatalité. On est pas à l'abri d'une interprétation arbitrale. Nous sommes freinés ».