PSG : Quand Valère Germain compare l’explosion de Mbappé… à celle de Messi !
Thibault Morlain -
Journaliste
Après s’être essayé à différents sports, Thibault se tourne vers une carrière de footballeur amateur. Au moment de faire un choix entre devenir footballeur professionnel et journaliste, les qualités ont fait pencher la balance d’un côté. Le voilà désormais au sein de la rédaction du 10 Sport, après un diplôme obtenu à l’Institut International de Communication de Paris.

A l’AS Monaco, Valère Germain a fait les frais de l’explosion de Kylian Mbappé. Et cette situation lui rappelle celle de Lionel Messi à Barcelone…

Aujourd’hui, et à seulement 19 ans, Kylian Mbappé est déjà considéré comme l’une des plus grandes stars du football. Toutefois, il y a encore quelques mois, l’attaquant du PSG était quasiment inconnu du grand public. En peu de temps, Mbappé a donc tout explosé sur son passage. Valère Germain peut d’ailleurs en témoigner. A l’AS Monaco, c’est lui qui a fait les frais de l’éclosion du Français. Une situation qui lui rappelle celle de Ludovic Giuly, vécue à Barcelone, avec un certain Lionel Messi.

« Entre février et mai 2017, il s’est imposé à Monaco, marquant but sur but »

Ce dimanche, en marge du Classico entre l’OM et le PSG, Valère Germain s’est ainsi confié sur l’explosion de son ancien coéquipier Kylian Mbappé. L’attaquant marseillais a alors fait part de son admiration pour l’international français, avouant : « Est-ce que j’ai conscience d’avoir assisté à l’éclosion du phénomène Mbappé ? Voilà quelques années, j’avais eu une discussion avec Ludovic Giuly où il me racontait les débuts de Lionel Messi au Barça et le moment où il a perdu sa place au profit de l’Argentin. Avec Kylian, j’ai vécu un peu la même histoire. Entre février et mai 2017, il s’est imposé à Monaco, marquant but sur but, et mon temps de jeu s’en est alors trouvé réduit. (…) Est-ce je pourrais échanger mon maillot avec un Parisien après la rencontre ? Avec Kylian, oui. Je l’aime bien. Il est marrant, nature. Comment ne pas l’apprécier ? Personne ne peut avoir de griefs contre lui. Allez, si on gagne, peut-être. Je ne suis pas du genre en tout cas, avant le match, à leur faire un grand sourire ou à être impressionné ».

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