Dans une ambiance électrique et malgré le soutien des 65 000 personnes présentes au Stade Vélodrome, l’OM a été tenu en échec par l’Atalanta jeudi soir (1-1), en demi-finale aller de la Ligue Europa. Un résultat satisfaisant pour la presse italienne, qui estime que l’enfer qu’avait promis Pablo Longoria au club de Bergame a bien eu lieu.
« Chapeau à l’Atalanta pour la victoire à Anfield contre Liverpool. Mais jeudi, ils vivront l’enfer du Vélodrome. » À quelques jours de la réception de l’Atalanta en demi-finale de la Ligue Europa, Pablo Longoria avait lancé le choc dans un entretien accordé à la Gazzetta dello Sport. Au vu des réactions de la presse italienne après le match nul entre l’OM et la Dea jeudi soir (1-1), les Bergamasques ont bien vécu l’enfer au Stade Vélodrome.
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— le10sport (@le10sport) May 3, 2024
« L’OM avait promis l’enfer, et cela a été l’enfer »
« L’OM avait promis l’enfer, et cela a été l’enfer (...) Le nul est précieux », peut-on lire dans le Corriere dello Sport, tandis que le Corriere della Sera estime que « pendant tout le match, le stade a tremblé (…) Les deux virages se répondent dans un jeu sans égal (…) La Dea a dû faire face à l’effet Vélodrome, unique en Europe. »
« Le nul dans le volcan du Vélodrome vaut de l’or »
« L’Atalanta est plus forte que l’OM, mais la différence, c’est Marseille qui a su la compenser (…) Le Vélodrome est un conteneur de bruits décomposés car chaque secteur du stade supporte à sa manière. Résultat, un incroyable grondement qui ne s’arrête jamais », a écrit la Repubblica. La Gazzetta dello Sport estime qu’avec son nul sur la pelouse de l’OM, l’Atalanta est en bonne position pour se qualifier en finale : « Le nul dans le volcan du Vélodrome vaut de l’or, surtout dans les conditions et par la manière dont il a été obtenu (…) Jeudi, à Bergame, il y a de bonnes chances d’aller en finale. »