Coupe du monde 2022 : Cristiano Ronaldo, ça sent la fin ?
Axel Cornic

A 37 ans, Cristiano Ronaldo semble disputer sa dernière Coupe du monde avec le Portugal. Une dernière qui ne se passe pas vraiment bien au Qatar, puisque son statut a totalement changé depuis le début de la compétition et lors de la dernière rencontre, il a assisté depuis le banc à la large victoire de son équipe sur la Suisse (6-1).

Tandis que Lionel Messi mène l’Argentine vers son rêve mondial, Cristiano Ronaldo traverse une période délicate. La star portugaise, qui n’a plus de club depuis son récent départ de Manchester United, est passée de titulaire intouchable à remplaçant en cette Coupe du monde. Un choix qui n’a pas manqué de faire parler...

Le Portugal meilleur sans Cristiano Ronaldo ?

Véritable légende vivante pour en son pays, Cristiano Ronaldo a toujours semblé être le seul véritable patron de la sélection portugaise. C’est pourtant Fernando Santos qui a pris la main, en prenant la lourde décision de placer le quintuple Ballon d’Or sur le banc lors du huitième de finale face à la Suisse. Un choix qui s’est relevé payant, puisque Gonçalo Ramos a plus que remplacé Cristiano Ronaldo, en signant un fabuleux triplé.

Santos pourrait le laisser sur le banc face au Maroc

La situation ne devrait vraisemblablement pas changer ce samedi, à l’occasion du quart de finale contre le Maroc (16h). Plusieurs médias annoncent en effet que Cristiano Ronaldo devrait une nouvelle fois être remplaçant, avec Santos qui souhaiterait reconduire le même effectif que face à la Suisse. Ce match a d’ailleurs laissé l’impression que le Portugal pourrait peut-être plus fort sans sa plus grande star.

« J'espère qu'il ne va pas jouer »

Quoi qu’il en soit, Cristiano Ronaldo continue à faire peur à ses adversaires ! Lors de la conférence de presse d’avant match, le sélectionneur du Maroc a en effet croisé les doigts pour le voir sur le banc, ce samedi. « En tant que coach, j'espère qu'il ne va pas jouer parce que c'est l'un des meilleurs joueurs de l'histoire » a déclaré Walid Regraoui, qui va toutefois devoir faire face à la nouvelle vague portugaise, symbolisée par Gonçalo Ramos.

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