Robin van Persie, muet devant Manchester City, pourrait finir par se mettre Arsène Wenger à dos. La vision du football diffère entre les deux piliers d’Arsenal.
Plus jeune, Robin van Persie était un doux romantique. Ce temps est révolu. Eduqué au beau football depuis des années par son mentor Arsène Wenger, l’attaquant néerlandais d’Arsenal a changé de vision.
Le beau jeu, c'est has been « Je suis encore un fan d’un beau football mais je suis devenu plus réaliste, s’est-il étendu dans The Sun. Il faut être très naïf pour penser que l’on peut gagner des matchs en jouant uniquement bien au football. Le Barça est l’exception qui confirme la règle ». L’orgueil de Wenger, qui prône le beau jeu depuis son arrivée chez les Gunners, devrait en prendre un sacré coup.