Alors qu’un cas de dopage mécanique a été révélé lors des Championnats du monde de cyclo-cross féminins, Thomas Voeckler espère que l’UCI prendra ce problème à bras-le-corps.
Lors des Championnats du monde de cyclo-cross féminins, une nouvelle triche est apparue. Certains utiliseraient une aide mécanique sur leur vélo. C’est le cas de Femke Van den Driessche, jeune belge, qui a ainsi utilisé cette technique. Dans les colonnes de L’Équipe ce mardi, Thomas Voeckler est revenu sur ce nouveau fléau du cyclisme.
« Se se donner les moyens pour régler très vite le problème »
« Je reste convaincu que ce système a déjà été utilisé chez les pros. Pourtant, lorsqu’on a commencé à parler d’un moteur dans un vélo, j’étais plutôt sceptique. Ensuite, vidéos à l’appui et après tout ce qui a été écrit, je me suis dit qu’il y avait certaines incohérences… Mais je pense que ce fléau va être plus facile à éradiquer que le dopage. Ça va sûrement coûter un peu d’argent, mais ça ne va pas être très compliqué de contrôler des vélos. L’UCI doit se donner les moyens pour régler très vite le problème et qu’il n’y ait plus d malentendus », explique ainsi ThomasVoeckler.